« Home », premier segment de l’intraduisible expression « home, sweet home », renvoie bien sûr à la douceur du foyer. Mais que devient ce cocon à l’aune d’un confinement contraint ? Vincent Ferrané choisit d’y photographier sa compagne, Armelle, avec laquelle il va partager ce lieu et cette durée. Il s’attache à représenter avec une douceur sensuelle et silencieuse des bribes de son corps et des gestes quotidiens, qu’un soleil permanent vient découper et inclure dans les pièces de leur espace de vie.